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Catherine BÉHAR

Le projet R'ÉVEIL est né de la rencontre d'Aleksandra et Catherine, et du principe qui les réunit et leur tient à cœur: « Se responsabiliser dans la prévention et le maintien de la vitalité et du Bien-Être au quotidien»

Catherine BÉHAR Intervenante R'ÉVEIL

Accompagnatrice psycho-corporelle, aromatologue, spécialisée en olfactologie et formatrice en aromathérapie et en olfactothérapie.

Formée à l’Aromathérapie Quantique et Intégrative par le Dr. Daniel Pénoël.

Catherine Béhar aide les femmes à se reconnecter à leur sensorialité et à leur féminité depuis déjà 30 ans.

Auteure de plusieurs livres

sur ces différents sujets.

Mes interventions R'ÉVEIL

Témoignages

"Suite au stage organisé en Inde sur le thème du voyage olfactif : “Merci Catherine pour tout le bien-être et le bonheur que tu m’as apportée , au cours de cette parenthèse indienne , et que je vais cultiver et partager autour de moi . Merci aussi d’avoir réveillé et aiguisé mes sens : je sens que je vais toucher , voir , entendre et croquer la vie à pleine dent ( comme la pomme) en laissant les pépins de côté ."
cliente Aromathérapie
“Catherine , grâce à ton atelier « voyage au fil des sens » , tu m’as permis de vivre une expérience riche en rencontres (avec moi-même et avec les autres) , en partage et en émotions . Tu m’as confortée dans l’idée que nous sommes des êtres uniques reliés par nos sens à tout ce qui nous entoure . Ta manière de me faire découvrir les huiles essentielles m’a séduite et j’ai adoré la création d’un parfum à mon image qui ne me quitte pas : un vrai doudou !!! Ce que je pensais être une parenthèse ne s’est , en fait , pas refermé : je prends d’avantage soin de mon corps et continue à bénéficier du bien-être que ton stage m’a apporté . Je me sens plus joyeuse et mes amis me trouvent plus épanouie . Merci Catherine pour ce très beau voyage dont je parle et que je recommande autour de moi .”
cliente aromathérapie
"Je viens de terminer ma formation d'olfactologie sur mesure : 12 h via Skype avec Catherine pour découvrir tout un panel d'huiles essentielles. J'ai découvert avec émerveillement les différentes émotions qu'une huile essentielle peut nous faire ressentir, tout ce qu'elle peut nous apporter pour notre bien-être. Ce fut une formation très intéressante, riche en émotions. Merci de m'avoir fait découvrir toute la puissance d'une goutte d'huile essentielle telle que la rose, le santal, le géranium... Cette formation m'a également permis de porter un autre regard sur la nature, sur tout ce qu'elle peut nous apporter et sur sa beauté. Il ne me reste plus qu'à partager à mon tour le pouvoir de ces odeurs. Encore merci Catherine"
Sandra Axilais

Celui-ci est un témoignage qui me tient particulièrement à cœur :
Octobre 2007
“Chère Catherine,
…Je t’ai envoyé des écrits chargés de remerciements et d’admiration pour toi, de reconnaissance pour ma soeur de m’avoir conseillé cette forme de thérapie. Il y avait là une voie que je pouvais prendre et libre à moi de m’engager dedans ou pas. Comme tu l’as cité dans ton livre: “il n’y a pas de hasard, que des rendez-vous”.
Comme je ne pouvais plus avancer dans l’état où j’étais (crises de spasmophilie à répétition et seulement la nuit), je savais que si je n’entreprenais pas cette démarche, j’allais au suicide, acte que je refusais d’accomplir, non par croyances religieuses mais parce que je savais que j’allais détruire la vie de mes frères et soeurs et celle de mes neveux et nièces adorés, habitués à voir une Tata souriante, dynamique, coquette, qui leur disait constament que l’important dans la vie, c’est de vivre dans l’authenticité et que le seul moyen d’atteindre le bonheur, c’était d’être en harmonie avec soi-même. Déjà se dire que le bonheur, peut être tout simplement l’absence de malheur, les amusait mais quand plus tard, alors que j’étais en thérapie, ils ont su que je me faisais soigner à coup de saignées hebdomadaires pour une hématochromatose, que j’étais harcelée au travail, que j’avais rompu du jour au lendemain ma relation avec mon compagnon: ils se sont dit: “sans sa sophro-analyse, jamais elle n’aurait pu se prendre en charge comme elle l’a fait.”
Je comprends que certaines personnes aient envie de capituler mais moi, dans mon cas, j’allais aux séances avec impatience car je savais, dès en arrivant que tu allais m’offrir soit un massage thérapeutique et trouver le noeud à dénouer, au moyen d’une musique appropriée pour savoir sur quel chakra il fallait travailler, soit me laisser débiter mon flot de paroles jusqu’à essoufflement, sans te donner la possibilité d’en placer une (mais tu y parvenais toujours, professionnalisme étant là!!), soit dans la plupart des cas, faire les exercices de relaxation qui amenaient une visualisation toujours très puissante, qui me déclenchait des révélations, des compréhensions qui me faisaient pétiller les yeux de bonheur et sortir de la séance en faisant des sauts de biche! J’écrivais tout au début, dans le petit resto chinois en face de ton cabinet et petit à petit, (au bout de 6 mois environ), j’éprouvais de moins en moins le besoin de coucher sur le papier tous les détails du déroulement de la séance et ceci parce que les nouveaux mécanismes de fonctionnement se mettaient en place. C’était intégré et je n’avais plus besoin systématiquement de me référer à mes écrits. Par contre, mes rêves déjà très nombreux dans ma vie, continuèrent de me guider. Leur analyse et leur interprétation me fascinent toujours autant. Ils sont très révélateurs et j’en ai de plus en plus de prémonitoires d’ailleurs. Ma sensibilité s’est fortement aiguisée depuis que j’ai fait cette analyse avec toi.
Les séances avaient aussi leurs larmes de douleur (mais jamais tu ne me laissais partir sans que je me sois vidée d’elles et franchir, calmée, le seuil de ton cabinet). Les points sensibles que tu savais toucher étaient déroutants et remettaient tout en question. C’est cela que je niais, que je ne pouvais pas accepter car je n’avais pas l’image là de moi et les exercices mentaux que tu me demandais de faire d’une séance sur l’autre, demandaient discipline. C’est la dure période de remise en question. Au bout de quelques mois, on se sent perdue, certes, car on n’est plus la personne qu’on était lors du commencement de la thérapie et en même temps, on n’est pas reconstruite. ALORS QUI EST-ON? C’est la crise d’identité (rêves répétitifs, dans mon cas de perte de sac à main, de perte de papiers d’identité, d’errance dans des rues de villes inconnues, sans savoir dans quelle direction aller et personne vers qui se tourner. Sentiment de panique) c’est douloureux, mais c’est là qu’il faut se dire: ” je vais accoucher de la vraie moi”, “tiens, je suis curieuse de voir ce qu’elle sera”. En fait, comme une mère qui attend que l’enfant sorte de son ventre. C’est excitant ce mélange de peur et de curiosité! Quand je pense que lorsque j’ai commencé les séances, je t’ai dit:” surtout ne me parlez pas d’accouchement, cela me terrorise!”.
Revenons à la sensation de perte d’identité momentanément éprouvée pendant les séances d’analyse. Je la compare à celle que j’ai vécue lorsque j’étais en Angleterre, j’apprenais la langue du pays…Je perdais au fil des semaines mes réflexes français, mon vocabulaire français ne sortait plus aussi facilement de ma bouche et en même temps, je ne maîtrisais pas encore la langue que j’apprenais. C’était affreux comme sensation. MAIS JE SAVAIS dans ces deux situations, que seule, la persévérance, la pratique et le guide (thérapeute ou professeur de langues) allaient m’amener à la maîtrise de la matière. Et quelle satisfaction, quelle fierté quand on voit qu’on fonctionne différemment, sans tâtonner. Lorsque les difficultés arrivent, on sait qu’on va trouver le moyen de les résoudre, même si on se réfugie quelques temps dans sa tanière en fuyant tout le monde. On a appris à savoir demander l’aide aux autres et on devient moins nombriliste. On aide plus les autres, on transmet nos petites techniques efficaces, on suggère la visualisation. On se sent utile et même si on a besoin de se recadrer souvent quand les choses deviennent ingérables, on y parvient!
Lorsque je vois des gens autour de moi, avec toute leur somatisation, leur décalage par rapport à eux-mêmes, j’éprouve une certaine tendresse et tristesse envers eux car je me revois quelques années en arrière, tels qu’ils sont dans leur souffrance. Ceux que je sens ouverts, je leur parle de la possibilité de remédier à cela, de se débarrasser de cette impression très gênante de voir une autre soi-même flotter à côté. Souvent, ils sont intéressés, réalisent au vu de ce que je leur dis, que plus ils vont attendre, plus le mal-être va empirer. Mais réaction typique, il y a souvent, la maladie de l’excuse (pas le temps, pas le budget…) OUI, cela demande un engagement total, mais la VICTOIRE EST AU BOUT! c’est sûr… C’est comme un diplôme que l’on doit obtenir pour avancer, sinon on stagne. Pour l’avoir, il faut travailler, solliciter l’aide de ses enseignants. Ce sont eux qui ont le savoir, par leur vécu, leurs propres études et ils passent le relais. Je comprends que les gens puissent se complaire dans leur état de mal-être tout le temps qu’ils peuvent fonctionner car on a tous un fond de masochisme mais il arrive un moment, où l’entourage exprime son ras le bol de notre attitude passive, destructrice, râleuse, fatiguée, et on pense que le médecin ou le psy traditionnel va donner le remède miracle. Certes, le produit redynamisant aide temporairement mais comme tout dopant, il ne soigne pas le noyau et le malaise ressurgit. Les manifestations des maux empirent.
La sophro-analyse marche (il faut bien choisir son thérapeute), car cela passe par le ressenti, par les tripes et les images, les mots, les sourires et les larmes apparaissent. Quand au fil des séances, on voit le courage se développer , quand on voit la peur s’estomper, sachant que celle-ci est notre pire ennemi, on ne veut plus être lâche…Alors le choix s’impose: soit on se laisse mourir, soit souffrir, soit survivre soit on décide de vivre. Là quand on s’aperçoit que de manière subtile, les problèmes sont moins fréquents (faux: on les aborde différemment, donc ils semblent moins présents) qu’on a une forme de rayonnement intérieur, on sait que la victoire n’a pas été gagnée seule, il faut comme dans toute bataille, avoir un bon leader pour mener à bien les opérations et être un bon soldat!
Aujourd’hui, j’ai toujours mon hématochromatose mais mes saignées ont été espacées et je suis régénérée…Grâce aux nouveaux mécanismes de fonctionnement que tu m’as aidés à ancrer dans le coeur, j’aborde les choses et les gens de manière plus positive: je suis plus affirmée, je sais sur quel chakra je dois me concentrer pour laisser le flux d’énergie circuler librement. Je ne suis plus hautement surprise comme auparavant quand je parviens à mes fins car je me dis: “j’ai la récompense de la manière dont j’ai manoeuvré, de mon courage, de ma patience et de ma bienveillance; j’ai pu maintenir mon travail, développer une relation avec un homme. Avant la thérapie, j’aurais échoué, mené ma barque avec tellement peu d’assurance et tellement de maladresse, que sans foi, ni conviction, j’allais forcément dans le mur. Mais mes deux soeurs amies confidentes, me disent être fières de moi et c’est le plus beau compliment que je puisse recevoir. C’est ce dont j’avais besoin pour gagner l’estime de moi. Le jour où vous pouvez vous regarder dans la glace et vous dire:” tu es une sacrée petite bonne femme, je t’aime et je t’admire”, c’est que la thérapie a été concluante. Après on fait de l’entretien seulement, de son corps comme de sa tête.”…

 

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